lundi 30 avril 2012

1er MAI - Ses origines et ses déviances




"Les tentatives de récupération du 1er Mai n’ont jamais marché"

Des anarchistes à Sarkozy en passant par Pétain et les gaullistes, le 1er Mai est un symbole disputé. Retour sur ses origines et ses avatars avec Danielle Tartakowsky.

Pourquoi tant de passion autour du 1er Mai ? Nous avons posé la question à Danielle Tartakowsky, historienne, l’auteure d’une histoire de cette journée particulière, « La Part du rêve » (éd. Hachette).
Tout le monde s’arrache le 1er Mai. Pourquoi cette fête a-t-elle une telle force symbolique en France ?
D’abord est-ce une « fête » ? Le mot fait question, certains préférant parler de « journée de lutte ». Depuis 1890, lorsque la journée du 1er Mai a pour la première fois été organisée dans plusieurs pays industrialisés, on a remis en cause le mot « fête ». A l’époque, les militants du mouvement anarchiste, notamment, expliquaient que ce ne pourrait être une fête qu’après la victoire des travailleurs.
La religion et le 1er mai des travailleurs
Député du Parti ouvrier belge, voici ce qu’écrivait Emile Vandervelde au débit des années 1890 :
« Ne faut-il pas admettre que ces noirs bataillons d’hommes obéissaient à une mystérieuse et irrésistible impulsion qui a toujours poussé les peuples à fêter le renouveau, à célébrer la fête des germes quand mai fait monter les rêves et ramène la saison d’amour.
Car ce jour-là, il y a fête dans toutes les religions et dans tous les pays. Pendant que ces travailleurs industriels quittent les usines et les charbonnages [… ] et se promènent en longs cortèges [ …] ne voyons nous pas les jeunes filles parer les autels de la vierge et les paysans planter des arbres de mai ou allumer des feux de joie sur le sommet des collines .
Et ces coutumes même ne sont que des survivances d’un passé plus lointain, des temps ou nos ancêtres, celtes ou germains, célébraient la fête de l’amour ou des arbres […] nous fêtons, non seulement avec les vivants mais avec les morts, l’humanité tout entière ».
Ce qui a fait la force du 1er Mai, c’est peut-être justement qu’il est international. Il faut comprendre qu’en 1890, la mise en œuvre d’une journée internationale était une prouesse, compte tenu des moyens de circulation de l’information de l’époque.
Par ailleurs, dès le départ, cette journée du renouveau a été empreinte d’une dimension sacrée, complètement assumée. On n’hésitait pas à puiser dans le vocabulaire religieux pour en parler.
Les Italiens parlaient même de « pâque des ouvriers », Paul Lafargue évoquait le « caractère presque mystique » que conférait l’internationalisme au 1er Mai... Mais le baptême, l’offrande, la résurrection sont également invoqués, quand ce n’est pas Lazare ou le Christ...


1er mai 2010 à Tarascon sur Ariège 
Hommage à Jean Ferrat ave la chanson "Camarade"

Pourquoi a-t-on choisi cette date du 1er Mai ?
L’exposition universelle de 1889 à Paris avait été accompagnée de nombreux congrès internationaux, dont deux congrès socialistes concurrents.
Au cours de l’un d’entre eux, qu’on appelle « Le Congrès de Paris » [La IIe Internationale ouvrière, ndlr], et qui réunissait les mouvements socialistes de différents pays européens, il a été décidé d’organiser une journée de revendication pour obtenir la journée de travail de 8 heures.
On avait alors pensé au 14 juillet, ou au 18 mars [date du soulèvement de la commune de Paris, ndlr], ce qui montre le poids des révolutions françaises dans l’imaginaire socialiste.
Mais c’était probablement trop français, et on a préféré retenir le 1er mai, date d’ores et déjà choisie, pour l’année 1889, par le syndicat ouvrier américain, l’American Federation of Labor. Aux Etats-Unis, le 1er mai correspond à la date des renouvellement des baux et contrats.
En Europe, sa force vient du fait qu’il échappe aux calendriers civil et religieux : il s’inscrit dans le calendrier social, tout en faisant écho à des célébrations printanières anciennes – le mai des folkloristes.
Ce n’est pas un hommage aux martyrs des manifestations de Chigago, le 1er mai 1886 ?
La référence à Chicago est largement, du moins en Europe, une reconstruction postérieure. Le 1er Mai de 1890 était une journée conçue non pas par des syndicats, mais par des mouvements politiques socialistes. Lorsqu’en France, en 1905, la SFIO s’est retirée de l’organisation du 1er Mai, laissant la CGT organiser la grève générale à cette occasion, on a commencé à insister sur l’importance du 1er mai de Chicago.
Aux Etats-Unis, le 1er Mai a été abandonné au profit du premier lundi de septembre [Labour Day, ndlr]. Les syndicats américains ne voulaient rien avoir à faire avec les socialistes ou les anarchistes européens.
Depuis quand est-ce férié ?


       Une affiche en 1936

Entre les deux guerres, la journée devient fériée dans plusieurs pays ou régimes « nouveaux » : la Russie soviétique, l’Allemagne nazie (Hitler avait puisé dans les mythes aryens et autres références folkloriques pour se l’approprier), la Tchécoslovaquie...
En France, le Front populaire avait l’intention de rendre cette date fériée, mais le projet n’est pas allé à son terme à la Chambre des députés. En 1941, Pétain en fait un jour férié.
Mais à l’époque, férié ne veut pas dire chômé : on s’arrête de travailler dans les usines que le temps d’une cérémonie, avec lecture du discours du Maréchal ...
Ce n’est qu’en 1948 que le 1er Mai devient une journée « chômée et salariée ».

Célébrations du 1er Mai en 1934 et en 1946
Les Actualités françaises du 9 mai 1946.


Pétain ou plus tard Le Pen n’ont jamais vraiment réussi à s’approprier le 1er Mai...
Non. Une chose est de s’approprier la date, pour concurrencer l’adversaire, une autre est de réussir. C’est une construction artificielle aussi vaine que les quelques tentatives, par la gauche, de s’approprier Jeanne d’Arc, décrite pour l’occasion en « fille du peuple, trahie par le roi, brûlée par des clercs ».
La tentative de Pétain est un échec : le 1er Mai n’a jamais été une grande journée sous Vichy. Le Pen a tenté en 1988 le syncrétisme 1er Mai + Jeanne d’Arc, mais sans grand succès.
Nicolas Sarkozy cherche aujourd’hui à relancer un 1er Mai échappant aux syndicats. J’imagine que l’UMP a prévu des cars pour qu’il y ait un peu de monde, mais je ne pense pas que cela puisse vraiment se pérenniser.
Ces célébrations fonctionnent si elles s’appuient sur des traditions de longue durée, si elles renvoient à des pratiques sociales inscrites dans l’histoire longue.

Y a-t-il eu d’autres tentatives, à droite, de s’approprier le 1er Mai ?
Pas vraiment, à part le RPF. Pendant la guerre, en 1942, les résistants avaient poussé De Gaulle à lancer un appel à manifester le 1er Mai, en réaction au 1er Mai pétainiste. Il l’avait fait et il y avait eu en France une quinzaine de petits défilés « patriotes », organisés par des gens plus que courageux.
Après la guerre, de Gaulle s’en était souvenu et son RPF avait, dans le parc de Bagatelle, disputé le 1er Mai à ceux que le Général appelait « les séparatistes de la CGT ».
Avez vous été choquée par l’appel à manifester le 1er Mai de Nicolas Sarkozy ?
Il a une très grande capacité à se saisir de tout ce qui passe, y compris dans l’histoire avec laquelle il a un rapport résolument post-moderne. Il chasse les voix qui se sont portées sur Marine Le Pen et ne peut donc pas laisser les frontistes seuls dans les rues le 1er Mai : il fallait qu’il prenne une initiative.
Appeler à célébrer le « vrai travail », c’est un peu n’importe quoi. Le parallèle avec l’initiative de Pétain n’est peut-être pas volontaire ou même conscient.
Mais même si Nicolas Sarkozy ne l’a pas fait exprès, c’est impardonnable de sa part : il y a, au regard de notre histoire, des mots qui ont un sens, des mots lourds qu’il faut, quand on est un homme politique responsable, éviter.
                                                                                                                                  Source : Rue 89



Baudry

La vengeance mesquine du collectionneur de Rolex

Julien Dray, bien connu pour sa fâcherie avec le PS qui l'a lâché pour ses fantaisies horlogères et ses cavaleries comptables avec l’argent des associations a préparé une petite farce à ses vieux copains de parti.
Il a invité des éléphants du PS à un anniversaire dont on ignore à qui il était consacré. 
Julien Dray, l'ex trotskiste est un amateur de luxe : la soirée sera bonne.



Un anniversaire, c'est sympa ! surtout dans un bistro de la rue St Denis, rue bien connue pour ses  activités nocturnes et libidineuses. 
Néanmoins, on y va presque en famille comme Ségolène, suivie par des Valls et des Moscovici. 
C'est sympa, et en plus il y a une surprise. La surprise, c'est DSK, l'obsédé du PS. Le bandeur fou est là ! Comme chauffeur de salle rue St Denis, difficile de trouver mieux ! 
Ségolène avertie à temps tourne les talons avec ses potes. Personne n'a envie de se faire piéger en compagnie de Super Braquemart, même s'il a bouclé la ceinture de son pantalon.


IL est de notoriété publique que l'ex trotsko partage avec le candidat-président un amour compulsif pour les tocantes de valeur, les oignons coûteux, les montres bracelets dispendieuses, les horloges portatives de collection. Bref les deux hommes sont copains comme cuir de cochon de bracelet.



En fait, la petite soirée entre amis du rond Julien Dray ressemble plus à un petit meurtre entre amis, histoire de discréditer le candidat Hollande en discréditant d'abord ses proches. C'est tout bénéfice pour le candidat président, l'ami Nicolas du gang des Rolex.
Le gros Julien Dray n'a pas pardonné le lâchage du PS.
Mais le coup a foiré, la grenade du gang des Rolex n'a pas explosé. Je crois que le le petit Dray va être personna non grata au PS pendant un bon moment. 
Le PS va tirer un dray sur ses relations avec le rancunier Julien.









dimanche 29 avril 2012

jeudi 26 avril 2012

Entre deux tours, entre tours de magie et tours de c..s


Les tours se suivent et ne se ressemblent pas.

J-M Borot        Penava
Tu m'as fait beaucoup de peine mon petit François !



Pleure pas Nicolas, je fais chauffer le tracteur et j'arrive !
Gilles Morand

Essaye un peu ! T'auras toujours mon bâton dans les roues de Sarko.

Désolé Nicolas, mais Marine a mis le tracteur en panne !

mardi 24 avril 2012

Piero Manzoni - Artiste italien - "Merde d'Artiste"

"Avec le sang du monde on fait du boudin d’actualité" 
 journaliste grolandais


PIERO MANZONI - ARTISTE ITALIEN
Multiple tiré à un nombre limité d'exemplaires de l'excrément de l'artiste.
J'ai eu le plaisir d'en vendre 2 boites à d'honorables collectionneurs
dans la galerie d'art "Le Bateau Ivre" à Bruxelles où j'étais vendeur en 1970.
Piero Manzoni
Piero Manzoni

















Piero Manzoni, est né le 13 juillet 1933 à Soncino (province de Crémone), il est mort à Milan le 6 février 1963 à 29 ans, d'une attaque cardiaque. 

C'est un artiste italien, pionnier de l'Arte Povera (Art pauvre) et de l'art conceptuel.

Influencé par les recherches d'Yves Klein, le travail de Piero Manzoni a anticipé et directement influencé celui de la génération d'artistes italiens plus jeunes réunis par le critique Germano Celant lors de la première exposition d'Arte Povera qui s'est tenue à Gènes en 1967.


C'est Manzoni qui, à une exposition d'art contemporain de Nice, arrosera de gouache rouge André Malraux à l'aide d'un pistolet à eau. Il voulait ainsi contester le mercantilisme officiel de l'Art. Malraux lui arrachera l'arme et aspergera à son  tour Manzoni. Que pouvait-on attendre d'autre du chef d'escadrille des Républicains espagnols devenu ministre de la culture ?

Manzoni est plus particulièrement connu pour une série d'œuvres mettant en question la nature de l'objet d'art, préfigurant en cela l'art conceptuel. 

Sa démarche évite les matériaux artistiques courants, utilisant tout ce qui se présente, de la fourrure de lapin aux excréments humains, en passant par toute sorte de déchets, de manière à "découvrir les sources mythologiques et comprendre les valeurs authentiques et universelles" (Merde d’artiste, 1961). 
A la Biennale de Venise, il exposera un homme nu dans une cage suspendu au plafond pour exprimer la finalité de la société consumériste dont le but est la vente de son propre corps et la servitude volontaire. 
Son œuvre est unanimement vue comme une critique de la production de masse et du consumérisme qui changèrent la société italienne (le "miracle économique") après la Seconde Guerre mondiale.
Edition en quatre langues pour faciliter la diffusion de l'oeuvre d'art.



lundi 23 avril 2012

Fernando Botero - Peintre et sculpteur colombien


Fernando Botero - un peintre et sculpteur colombien


Fernando Botero est un peintre et sculpteur colombien né le 19 avril 1932 à Medellin, s'étant lui-même nommé :
"le plus colombien des artistes colombiens". 
Sa carrière débute réellement en 1959 lorsqu'il gagne le premier prix du salon des artistes colombiens (Salón de Artistas Colombianos). 
Son style est marqué par la rondeur de ses personnages.


Les déformations qu'ils imposent : agrandissement de personnages ou d'objets, réduction d'autres, obésité ou plutôt rondeur systématique des formes constituent un véritable système pictural créé de toutes pièces, ce qui permet l'harmonie du tableau.


Fernando Botero, et autres artistes ...






Fernando Botero, à l'instar d'autres artistes latino-américains de renommée (Rivera, Orozco, Siqueiros) fut influencé par l'art européen. 
Alors que ces derniers s'inspiraient des révolutions picturales de l'époque, tel le cubisme, le peintre et sculpteur colombien profita de son séjour a Paris pour visiter les musées et s'inspirer des classiques de la Renaissance jusqu’à Ingres.


Fernando Botero et l'amour...


La beauté et l'amour sont deux exigences primordiales de Fernando Botero, qui se définit lui-meme en opposition avec Siqueiros, dont la haine est visible a travers ses toiles. 
Fernando Botero, même dans une critique du régime colombien (militarisme et religion), dont il montre clairement la putréfaction, ne va pas au-delà d'une douce ironie (La Familia del presidente, 1967). 

Le jeune Fernando Botero a pendant plusieurs années fréquenté une école de tauromachie mais son réel centre d’intérêt était dans l'art. 
Dès lors, il s'éloigne volontairement des oeuvres artistiques et architecturales qui l'entourent dans sa Colombie natale.

Fernando Botero - à Bogota



Fernando Botero - en 1952, il s'envole pour la capitale Bogota ou il finira, cinq mois plus tard, par exposer pour la premiere fois. 
En 1959, il gagne la IXe édition du salon des artistes colombiens, puis quitte la Colombie pour étudier l'art en France.

Fernando Botero - à Paris

En 1961, le musée d'art contemporain de New York (Museum of Modern Art), achète la toile de la Mona Lisa a l'âge de 12 ans que Fernando Botero a faite. 



Fernando Botero commence a être connu du monde entier à partir de 1974

D'ailleurs, en 1992, ses sculptures géantes ont peuplé les Champs-Élysées a Paris.

Nicolas : ça c'était avant ! Merci Alain Delon !

Merci Alain ! Merci l'ami Delon ! Merci la Madelon !


Gilles Morand

ÇA, C’ÉTAIT AVANT !

Un 1er Bilan du 1er tour des Présidentielles : On se marre !

J-M Borot        Penava
Tu m'as fait beaucoup de peine mon petit François !



Pleure pas Nicolas, je fais chauffer le tracteur et j'arrive !

dimanche 22 avril 2012

OUSMANE SOW - artiste sculpteur sénégalais




Ousmane Sow est un artiste sculpteur sénégalais né à Dakar en 1935
















En 1957, à 22 ans, Ousmane Sow quitte le Sénégal pour la France où faute de moyens, il doit renoncer à entrer à l’école des Beaux-arts. 
Tout en vivant de petits jobs, il obtient le diplôme d’infirmier, puis de kinésithérapeute. Il exerce une vingtaine d’années notamment à l'hôpital Laënnec de Paris. 









Cette profession n'est pas sans influence sur son travail de sculpteur, grâce à la connaissance et l’approche du corps humain qu’elle lui apporte. 
Durant cette période, en autodidacte, il consacre le temps que lui laisse sa profession à perfectionner sa technique, son art et il fait des recherches sur les matériaux.





En 1965, il retourne au Sénégal et crée le service de kinésithérapie de l'hôpital Le Dantec, puis il revient en France en 1968, et ouvre un cabinet privé à Montreuil.
En 1984 il rentre au Sénégal pour y ouvrir un cabinet privé de kinésithérapie qu’il abandonne ensuite. Il a cinquante et il se consacre totalement à la sculpture. Il finit de mettre au point une technique toute personnelle. Sur une armature faite de métal, de paille, de toile de jute et d’autres matériaux, il modèle ensuite son sujet en étalant une pâte de sa composition faite de terre et minéraux mélangés à différents produits longtemps macérés. Il a mis des années à mettre au point cette pâte dont il garde jalousement le secret.
En 1988, il expose pour la première fois sa série Nouba inspirée par les photos de Leni Riefenstahl, au Centre culturel français de Dakar. Les années suivantes, il n’arrête plus d’exposer un peu partout dans le monde...




En 1999, l’exposition de ses œuvres, dont la série Little Big Horn, sur le Pont des Arts, à Paris est visitée par trois millions de personnes. Il est enfin reconnu du grand public !





Ousmane Sow est aujourd’hui considéré comme l’un des plus grands sculpteurs contemporains.
Après la lecture d'une biographie du général Dumas écrite par Claude Ribbe, Ousmane Sow prépare un projet de statue pour remplacer une œuvre érigée en 1906 à Paris sur l'actuelle place du général Catroux abattue par les nazis en 1942. 
Une pétition est adressée à Bertrand Delanoë, maire de Paris par Claude Ribbe qui souhaite, à travers l'association des amis du général Dumas qu'il préside, offrir une copie de l'œuvre d'Ousmane Sow à la République d'Haïti, pour réaliser un souhait émis en 1838 par l'écrivain Alexandre Dumas, fils du général.






Ousmane Sow vend quelques œuvres chez Christie's, à Paris, pour financer la construction d'un musée personnel, consacré aux grands hommes, près de Dakar où il s'occupe d'ateliers de création pour les enfants.





Monsieur Sow a 77 ans et c'est un grand monsieur !

samedi 21 avril 2012

Dans 15 jours, le dimanche des élections se passera mieux

Dans deux semaines, les choses seront plus claires mais pas moins violentes
Quoique à un contre un ça me semble plus équilibré. 
La bagarre sentira toujours un peu la boule puante et le poisson pourri ...
N'empêche que l'endroit où l'on vote n'est toujours pas fait pour les enfants 
... pour la croix-rouge ou les parfumeurs peut-être !




Aujourd’hui dimanche, jour d'élection

Ce sera la dernière bagarre au couteau à un contre neuf.
Ce sera l'horreur, les coups et les pifs qui saignent.
Ce sera un très mauvais exemple pour les enfants.
Je veux bien que le vote soit un devoir civique mais
je me demande s'il faut les emmener voir comment ça se passe. 


POUR QUI VA VOTER SARKO : EN EXCLU

Ah que ... voilà un homme de bon sens !



Kroll - Le Soir - Bruxelles






Earth art ou Land art ? JARDINIERS DE GÉNIE OU ARTISTES EN HERBE ?

JARDINIERS DE GÉNIE OU ARTISTES EN HERBE ?



















AUX URNES , CITOYENS ! ALLONS VOTER !


LES BONNES QUESTIONS DU PROFESSEUR ALLÈGRE


SCIENCES NATURELLES ET OBSERVATIONS DU PROFESSEUR ALLÈGRE