Jules FERRY
né le 5 avril 1832 à Saint-Dié (Vosges) et mort le 17 mars 1893 à Paris, homme politique français, est l'emblème de la laïcité mais hélas aussi de l'expansion coloniale.
Écoles Jules Michelet & Jules Ferry vues d'avion.
La chapelle a disparu. Sa raison d'être dans une une école laïque vient du fait que les bâtiments avec dortoir étaient l'ancien Petit Séminaire pour l'éducation des futurs aspirants prêtres devant encore subir l'épreuve du Grand Séminaire.
Le reste des bâtiments des deux Jules est devenu des logements proches de la nouvelle piscine du Nautile qui se trouve à l'emplacement de l'ancien bassin de natation du séminaire.
On attend avec impatience la rénovation du Nautile qui tarde
On attend avec impatience la rénovation du Nautile qui tarde
édition Albert Grente à Lisieux
ÉCOLES Jules MICHELET et Jules FERRY
Michelet est à gauche et Jules Ferry est à droite de la photo.
Dans l'angle situé à l'extrême gauche, se trouve maintenant l'IUT auquel on a adjoint un hideux rajout architectural respectant plus le montant des subventions que l'esthétique.
Jules MICHELET
né le 21 août 1798 à Paris et mort le 9 février 1874 à Hyères, est un grand historien français.
édition O. Blanche à Lisieux
En 1908 après la loi de 1905 instaurant la laïcité et la séparation de l'Église et de l'état, le Petit Séminaire devint le groupe scolaire Michelet pour les filles et Jules Ferry pour les garçons. Michelet et Jules Ferry prirent donc la place du Petit Séminaire qui avait été construit en 1876. Au début, Michelet ne fut qu'une école de filles puis la mixité venant elle devint un CEG (Cours d'Enseignement Général) mixte vers 1967.
cliché Tribouillard
A droite de la photographie on voit l'ancienne chapelle du Petit Séminaire, construite en 1890-1892, qui servait de salle de gymnastique quand le bâtiment fut nationalisé et transformé en École Publique.
Cette chapelle finit par être démolie dans les années 80 à la suite d'un incendie.
Michelet a émigré vers les "Quatre Sonnettes" et Jules Ferry est parti au Lycée Technique Paul Cornu.
Cliché pris par Tribouillard entre les deux guerres mondiales
Sic transit gloria mundi !
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